
Chers
visiteurs, j'ai participé
a quelques
reprises auprès
des membres d'un groupe
qui traitait de la fibromyalgie.
Par la suite, plusieurs
m'ont dit que le fait de
voir quelqu’un
qui avait vécu
sensiblement la même
chose qu’eux
et qui s’en était
sorti assez bien,
les avait aidés à surmonter
ces maladies si peu
connues et si difficiles à traiter
ou même à diagnostiquer.
On me disait aussi
que mes interventions étaient
positives et leur
faisaient du bien.
Souvent
on oublie le côté psychologique
pour ne soigner que ce que
l’on
voit de la maladie. Les personnes
atteintes vivent un véritable
calvaire et ne sont pas toujours
prises au sérieux
et reconnues comme des personne
malades.
Dans
le but de faire connaître
comment peut vivre une personne
atteinte de ces maladies
ou de toutes autres maladies
chroniques, j’ai
décidé de
me mettre à nue
devant vous.
Je
vous expose donc, dans mes
mots, ce que j’ai
vécu
pendant plusieurs années
et comment tout cela a été difficile.
Pourtant mon cas n’est
pas le plus sérieux,
il y en a de bien plus pénibles.
Ces
personnes ont souvent à vivre,
en plus, avec des soucis
d’argent,
des séparations,
des rejets, des responsabilités
de personnes monoparentales
entre autres.
Elles
se retrouvent souvent sans
ressources humaines pour
leur apporter un peu d’aide
ou de réconfort.
Je me livre donc à vous, à ma
façon,
essayant d’être
le plus sincère
possible. Je vous laisse
juger.
Peut être
qu’après
avoir pris connaissance de
mon histoire, vous serez
plus à même
de comprendre et d'aider
un membre de votre famille,
qui, normalement, était
tout feu tout flamme, n’est
soudainement plus capable
de suivre et se dit continuellement
fatigué et/ou
souffrant.
La
souffrance, qu'importe son
origine, quel que soit le
nom qu'elle porte, maladie,
intolérance,
indifférence,
incompréhension,
qu'elle soit d'ordre psychologique, émotionnel
ou physique, elle laisse
toujours des bleus au coeur.
Bien à vous
Will
Note;
J'ai fait plusieurs paragraphes
c'est pour en faciliter la
lecture, Merci
Gratitude à vous
madame d'Anjou
Considérant
que mes textes méritaient
d'être
lus dans un bon français,
une amie récente,
Madame Jacqueline d'Anjou, âgée
de 84 ans et encore très
impliquée
dans son milieu m'a fait une
généreuse
offre que je ne pouvais pas
refuser. Elle m'offrait son
expérience
et ses connaissances en français
pour corriger les nombreuses
fautes qui s'y trouvaient encore
malgré ma
bonne volonté.
C'est un travail colossal que
j'apprécie
au plus haut point, car vous
savez que mon désir
a toujours été de
vous offrir un site de qualité dans
un français
impeccable.


Merci
de prendre connaissance des
effets de cette maladie méconnue sur
les malades
et
leurs proches
chezwill@gmail.com
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